Quarantaine

Qui aurait pu imaginer une chose pareille ? Le domaine centenaire d’Archbishop’s Park, en plein cœur de Londres, défoncé au bulldozer pour y bâtir de toute urgence un hôpital. Alors qu’une épidémie sans merci a séparé la capitale britannique du reste du monde, alors que le Premier ministre lui-même vient de mourir, un ouvrier découvre sur le chantier ce qu’il reste du corps d’un enfant. Des ossements qui ne datent pas du temps des archevêques. MacNeil, l’homme qui a décidé de quitter la police, qui vit ses dernières heures dans la peau d’un flic, est envoyé sur les lieux. C’est lui, le policier désabusé, qui va devoir remonter la piste d’une machination abominable, dans une ville en butte aux pillages où les soldats en patrouille font la loi. Et alors qu’il apprend que son fils unique, Sean, est contaminé à son tour, n’ayant qu’une chance infime d’en réchapper.
Lorsqu’il a écrit ce roman en 2005, Peter May était loin de penser qu’un jour la réalité se rapprocherait autant de la fiction. Publié quinze ans plus tard en Grande-Bretagne, en plein confinement, «Quarantaine» a fait l’événement. C’est aussi, tout simplement, un roman policier qu’on ne peut pas lâcher.

Traducteur

Ariane Bataille
mars 2021
0 pages
14 x 20,5
version numérique • 8,49 €
ISBN 
978-2-8126-2158-1
Gencod 
9782812621581

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